[vc_row][vc_column][vc_column_text]

Si la première journée de course était celle des bonnes surprises, cette seconde étape aura été le théâtre d'une hécatombe pour les uns et de la confirmation pour d'autres. Qui peut contester la main-mise de Sébastien Ogier ?

Sébastien Ogier en maîtrise

A l 'aise depuis la sortie de Sébastien Loeb, le quintuple champion du monde ses contenté de rouler sans faire d'erreurs tout en tenant à distance un Thierry Neuville encore et toujours à la peine au volant de sa Hyundai i20 WRC. Le pilote belge devenant alors de plus en plus vulnérable sur sa seconde marche du podium qu'il devra céder à un Tänak survolté.

Cela bien sûr sans compter sur la malheureuse et spectaculaire sortie de route du britannique Chris Meeke suite à une erreur de note qui l'a propulsé hors du ruban noir à une vitesse impressionnante. Et histoire de bien planter le décor de la dernière journée de course, Lappi pointe le bout de son nez aux portes du podium.
La suite du classement découle avec plusieurs abandons majeurs comme Latvala après une sérieuse touchette à l'arrière droit et Bouffier sur problème mécanique. Une journée bien remplie sur fond de frustration pour un certain équipage pourtant venu pour s'amuser mais qui enchaîne les temps scratches et prouve une fois de plus qu il faut encore compter avec eux et leur Citroën C3 WRC.
Le duo Loeb / Elena aura ébloui cette seconde journée en reléguant sans mal une concurrence presque sans défense. De quoi reprendre une flopée de places au général pour la beauté du sport et finir la journée aux portes du top 15.

[/vc_column_text][vc_column_text]

La hiérarchie établie en WRC 2 / WRC3

En WRC2, même schéma avec un Kopecki tout en facilité une fois débarrassé du champion de France Yoann Bonato qui paie le prix de la jeunesse de sa C3 R5 jalonnée d'ennuis mécaniques. Ajoutons à cela la même punition pour Loubet et un apprentissage prometteur mais malgré tout difficile pour Nicolas Ciamin sur sa Hyundai R5 qui entre dans le top 20 avant la dernière étape.

Le WRC3 quant à lui tourne à l'avantage de la perle française Franceschi qui pourra se permettre de gérer sa troisième étape en tête. Tout comme dans la catégorie RGT qui revient pour l'instant à Raphaël Astier qui rentre au parc fermé en tête sur la 124 Abarth du team Milano Racing.
Rendez-vous sur le podium d'arrivée après la Power-Stage pour un bilan de ce Tour de Corse 2018.
Guillaume Pons

[/vc_column_text][vc_single_image image="45041" img_size="full" onclick="link_image"][/vc_column][/vc_row]