Alfa Romeo Racing avait fait une belle entame de saison 2019, on les pensait même capable d'être la quatrième force du plateau. Mais rapidement, le retard des évolutions se fait sentir, l'écurie italienne a reculé dans la hiérarchie.
L'écurie suisse Sauber perdure, toujours basée à Hinwill, elle a subi un 'rebranding" pour s'appeler désormais Alfa Romeo Racing battant même pavillon italien...
Kimi Räikkönen constate le retard d'Alfa Romeo
Il y avait un bon début de saison pour Alfa Romeo Racing avec des points inscrits lors des 4 premiers Grands Prix et le dernier décroché en Azerbaïdjan. Mais ni l'Espagne, ni Monaco ou le Canada n'ont permis au finlandais Räikkönen ou l'italien Giovinazzi d'entrer dans le Top 10, pire les qualifications les éloignent un peu plus de la Q3...
Pour Kimi Räikkönen le manque de vitesse de sa monoplace provient de retard dans les mise à jour que doit apporter Alfa Romeo, il fait le point sur son dernier week-end à Montréal.
"Ce fut un week-end difficile, nous n'avons jamais réussi à avoir la vitesse, et de toute évidence, la course était loin d'être parfaite. Quand tu finis 12e ou 13e, peu importe la place, tu ne marques aucun point. Sur certains tours, je sentais bien la voiture ça avait l'air correct alors que parfois je n'avais pas d'adhérence, ce n'était pas cohérent. Espérons que pour la prochaine course, nous aurons de nouvelles pièces et que nous avancerons."
Malgré le manque d'évolutions de l'Alfa Romeo, Kimi Räikkönen accorde que les Pirelli n'y sont pour rien dans ces contre-performances, pointant du doigt les seules évolutions manquantes à la monoplace.
"Les pneus, tout le monde a les mêmes, ce qui veut dire que nous avons du travail sur la monoplace, nous aurons de nouvelles pièces pour la prochaine course au Grand Prix de France, espérons que cela nous aide pour revenir à l'avant du peloton."