Alors que le rapport du cabinet Decisio envisageait le retour de la F1 à Zandvoort comme un « scénario réaliste, sans problèmes techniques, organisationnels ou logistiques insurmontables », les politiques en place ont mis un léger coup de frein au projet.
Le retour de la F1 à Zandvoort est attendu par tous les fans de Max Verstappen. Le pilote néerlandais, qui a déjà remporté trois victoires en F1, rêve de courir sur ses terres.
Récemment, une étude de faisabilité a mis en lumière la possibilité pour le circuit d'accueillir la F1. L'impact économique est important, mais le circuit doit obtenir le grade 1 de la FIA. Ainsi, cela nécessiterait un investissement de 10 millions d’euros. Accueillir la F1 pourrait coûter à Zandvoort 20 millions par an.
Un frein des politiques
Si l'enthousiasme est important, il faut pourtant rester modérer. Le ministre des Sports, Bruno Bruins, a clairement fait savoir la semaine passée que ce n'était qu'une première étape. Pour le moment, il y a beaucoup d'incertitudes autour du projet.
La prochaine étape logique doit être la rencontre entre le conseil municipal de Zandvoort et les propriétaires de piste avec Liberty Media et la FIA.