Après avoir officialisé le rachat de la F1 et divulguer son état-major, il est temps pour le nouveau directoire d'énoncer ses idées pour l'avenir de la F1. Conscients que la discipline est en souffrance sur certains aspects, ils vont se focaliser sur les priorités à améliorer.

Si la Formule 1 a été élevée au rang de discipline sportive hautement technologique et avant-gardiste (merci M. Ecclestone), il n'en reste pas moins que tous ses aspects doivent suivre cette courbe ascendante ! C'est la discipline qui régie le plus de paramètres extra-sportif. Au-delà de la compétition sportive, la Formule 1 s'entoure de facteurs historiques, technologiques et développement, de partenaires éminents, du marketing et des aspects géo-politique. Quant à l'économie du système, il est hermétique aux néophytes mais un vrai pilier de la discipline.

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Sean Bratches a un plan

Le trio à la tête du directoire de la Formule 1 est composé de Chase Carey le grand patron, Ross Brawn en charge de la branche sportive, et Sean Bratches qui gère l'aspect commercial. Ainsi ils ont défini les 4 principaux axes de réflexion pour le renouveau de la F1. Sean Bratches s'est confié à CNN :

  • Premièrement la marque : "La marque définit l'entreprise, une marque pour un sport ! Le travail va être fait sur la marque F1, elle doit être polie, et embellie !" "Cela doit être au cœur de ce que nous devons faire. Il faut prendre les parts de marché, approfondir l'aspect commercial, les sponsors et les promoteurs."
  • Deuxièmement le numérique : "Il y a beaucoup d'opportunités dans l'espace numérique, il faut ré-imaginer le produit Formule 1. Aujourd''hui les fans attendent de nouvelles expériences concernant la F1."
  • Troisièmement la simplification : "Il faut rendre l'approche beaucoup plus démocratique de la Formule 1. A l'heure actuelle c'est un sac de nœuds de contrats entre les partenaires, les pilotes et les promoteurs. Il faut simplifier tout cela."
  • Quatrièmement la course : "Il faut moderniser l'expérience de course, l'interaction avec les spectateurs. La Formule 1 n'as pas assez évoluée en même temps que les modes de consommation des passionnés. Il faut une dynamique plus importe pour la Formule 1."