Frederik Vesti et Oliver Bearman victorieux en FIA F2 à Monza

Avant-dernier meeting de la saison. Théo Pourchaire, leader du championnat, s'élance de la pole position lors de la course principale.

Vesti remporte la course sprint

Ralph Boschung part de la première place de la course sprint, devant Richard Verschoor, Frederik Vesti et Jak Crawford. Victor Martins est 6e, Isack Hadjar 7e et Théo Pourchaire 10e.

Ralph Boschung se rate au premier freinage, ce qui permet à Frederik Vesti de prendre les commandes de la course devant Richard Verschoor et Kush Maini. La voiture de sécurité sort à l'entame du 2e tour suite à un incident en piste. Derrière le trio de tête, on retrouve Ralph Boschung, Jak Crawford, Isack Hadjar, Victor Martins et Théo Pourchaire.

La course reprend à la fin du 4e tour. Ralph Boschung est le grand perdant de la relance, chutant au classement. Victor Martins est remonté en 5e position, devant Isack Hadjar et Théo Pourchaire. Le tour suivant, les deux pilotes ART Grand Prix ont doublé chacun un pilote du Red Bull Junior Team. Victor Martins est 4e, Théo Pourchaire 6e. Ralph Boschung s'arrête pour passer des pneus tendres.

Au début du 8e tour, Victor Martins dépasse Kush Maini et Théo Pourchaire prend le meilleur sur Jak Crawford. Isack Hadjar a reçu une pénalité de 5 secondes pour avoir gagné un avantage en dehors de la piste lors du premier tour. Le pilote Hitech Grand Prix est 7e de la course. Victor Martins continue sa remontée en passant Richard Verschoor au début du 12e tour. La voiture de sécurité est déployée dans ce tour suite à une erreur de Roy Nissany après un contact avec Juan Manuel Correa au niveau de la deuxième chicane.

Frederik Vesti mène devant Victor Martins, Richard Verschoor, Kush Maini, Théo Pourchaire, Jak Crawford, Isack Hadjar et Dennis Hauger. Au même moment, Ayumu Iwasa abandonne.

La course reprend à la fin du 15e tour. Théo Pourchaire remonte en 4e position, en dépassant Kush Maini dans la deuxième chicane. Dans le dernier tour, Isack Hadjar prend le meilleur sur Jak Crawford.

Frederik Vesti remporte la course devant Victor Martins, Richard Verschoor, Théo Pourchaire, Kush Maini, Isack Hadjar, Jak Crawford et Ollie Bearman. Avec la pénalité du pilote français de l'équipe Hitech Grand Prix, Arthur Leclerc prend le dernier point.

Oliver Bearman remporte la course principale

La majorité des pilotes s'élance en pneus tendres. Oliver Bearman réalise un très bon départ et attaque Théo Pouchaire après le premier virage. Le rookie de Prema prend la tête. Plus loi, Frederik Vesti percute le rail suite à une défense rugueuse de Roman Stanek. La voiture de sécurité entre en piste. C'est l'abandon pour le dauphin au championnat. Clément Novalak est dans la graviers, c'est l'abandon également pour le pilote français.

Oliver Bearman mène devant Théo Pourchaire, Victor Martins, Roman Stanek, Kush Maini, Richard Verschoor, Jak Crawford et Dennis Hauger 8e.

La voiture de sécurité s'efface à la fin du 3e tour. Oliver Bearman prend un peu de large tandis que Victor Martins se montre dans les rétros de Théo Pourchaire. Richard Verschoor attaque Kush Maini mais le pilote campos conserve l'avantage. Arthur Leclerc rate son freinage au premier virage. La voiture de sécurité entre en piste au 7e tour. Une grande partie des pilotes s'arrête aux stands pour changer les pneus. Jehan Daruvala mène devant Jack Doohan et Ayumu Iwasa. Suivent Isack Hadjar, Oliver Bearman, Théo Pourchaire, Kush Maini et Richard Verschoor 8e. Victor Martins est 11e.

Les 4 premiers pilotes doivent encore effectuer leur arrêt aux stands. Roman Stanek est pénalisé de 5 secondes pour avoir forcer Frederik Vesti hors de la piste. La voiture de sécurité s'efface à la fin du 11e tour. Jack Doohan parvient à prendre la tête tandis que plus loin dans le peloton, un gros crash se produit. C'est intense pour la tête de la course. La voiture de sécurité entre en piste.

Certains pilotes profitent pour s'arrêter changer leur pneus. Après ces arrêts, Oliver Bearman mène devant Jack Doohan, Théo Pourchaire, Jehan Daruvala, Kush Maini, Richard Verschoor, Victor Martins et Jak Crawford 8e. Jack Doohan n'a pas encore effectué son changement de pneus.

La relance se fait au 16e tour. Oliver Bearman prend un peu de large et parvient à garder une distance de sécurité face à Jack Doohan. Victor Martins passe Jak Crawford qui avait passé le français et Richard Verschoor juste avant. Oliver Bearman a réussit à faire sortir Jack Doohan de la zone DRS. Victor Martins passe Kush Maini et prend la 5e place tandis que Théo Pourchaire met la pression sur Jack Doohan. Jehan Daruvala en profite pour coller aux rétro de Théo Pourchaire.

Le français prend la 2e place au début du 18e tour, il doit prendre un peu d'air face à Jack Doohan pour sécuriser sa position. Le DRS de Victor Martins est bloqué en position ouverte. Le français va sans doute devoir s'arrêter pour fermer son aileron arrière. Il se voit adresser le drapeau noir et orange. Jak Crawford prend la 5e place. Victor Martins s'arrête à la fin du 20e tour, il ne reprendra pas la piste.

Kush Maini touche Jak Crawford, ce dernier subit une crevaison. La voiture de sécurité entre en piste au 23e tour. Jak Doohan et Jehan Daruvala rentrent aux stands, tout comme Roman Stanek et Isack Hadjar. Oliver Bearman mène devant Théo Pourchaire, Ayumu Iwasa, Richard Verschoor, Enzo Fittipaldi, Dennis Hauger, Juan Manuel Correa et Joshua Mason 8e.

La voiture de sécurité rentre aux stands à la fin du 26e tour. Il reste 4 tours dans cette course. Oliver Bearman, à nouveau, garde un peu d'air face à Théo Pourchaire lui-même sous la pression d'Ayumu Iwasa. Ce dernier passe et prend la 2e place. Théo Pourchaire doit ensuite défendre sur Richard Verschoor. Le français semble en difficulté avec ses pneus. Jack Doohan avec ses pneus tendres, remonte dans le peloton. Jak Crawford est à l'arrêt suite à un contact avec Roman Stanek, la voiture de sécurité virtuelle est déployée. Puis la voiture de sécurité entre en piste.

Oliver Bearman remporte cette course devant Ayumu Iwasa et Théo Pourchaire. Suivent Enzo Fittipaldi, Dennis Hauger, Jack Doohan et Jehan Daruvala.

Dorothée Julien

Passionnée par la F1 depuis ma plus tendre enfance (merci papa), j'ai commencé par écrire sur la F1 depuis quelques années, sans prétention aucune. J'ai depuis ouvert mon éventail à d'autres disciplines monoplace. Défenderesse des causes perdues, avocate du diable et féministe, il faut éviter de me lancer sur le sujet des femmes dans le sport auto. Actu, ou articles de fond, tout peut passer sous ma plume, à l'exception de l'analyse technique, ma bête noire, mon croque-mitaine.

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