Dans le cadre d'une interview réalisée par Marc-Olivier Fogiel pour RTL, avec comme thème l'ePrix de Paris, Nicolas Prost revient sur l'ADN de la Formule E et des émotions qu'elle transmet aux spectateurs d'une course.

Les ePrix hormis quelques exceptions ont tous lieu dans les centre ville de grandes capitales, une course près de son public, où il n'est pas question de faire rugir les moteurs mais au contraire de laisser s'exprimer les autres éléments mécaniques :

C'est un produit différent qu'il ne faut pas comparer à la Formule 1

"Courir dans son pays, c'est toujours quelque chose de spécial. Ça va vraiment être fantastique, ..., "Il faut être objectif : une Formule E va moins vite qu'une Formule 1. (...) Mais au niveau des sensations, on conduit sur des circuits en ville, donc c'est toujours plus compliqué avec les murs, les bosses et les bouches d'égout. Les voitures sautent un peu dans tous les sens et sont très proches en performance. ... Pour la course, c'est super intéressant, "Ce qu'on entend, c'est surtout la transmission et toutes les pièces mécaniques qu'on entend généralement pas. C'est sûr que ce n'est pas un V12 de la grande époque qui fait un bruit fantastique. mais quand vous êtes au bord de la piste, vous allez entendre les pneus crisser, les freins et la boîte. C'est un produit différent qu'il ne faut pas comparer à la Formule 1".

M.O Fogiel revient sur la relation lors des ePrix que Nicolas Prost entretient avec son père Alain :

"Je pense qu'il prend une vraie distance avec moi. Sur les courses, il est vraiment comme un directeur d'écurie. Je pense qu'il est même plus dur avec moi qu'avec d'autres pilotes, car il faut que je sois encore plus parfait"
 

Retrouvez l'interview complète dans le Player ci-dessous :
Copyright  Radio RTL Marc-Olivier Fogiel Interiew Nicolas Prost avant le ePrix de Paris

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