Un sujet a monopolisé les discussions dans le paddock de Sepang, en Malaisie, à savoir le drame que vit actuellement la population dans la région de Valencia. 

Les échos du paddock en Malaisie

Valencia

Valencia a été dans toutes les discussions du week-end, de l'arrivée à Sepang jusqu'à l'annulation officielle survenue dans la journée du vendredi. Le sujet a montré une réelle division entre les dirigeants de la discipline, à savoir la FIM et Dorna, et les pilotes, qui en ont appelés au sens "éthique".

L'avenir d'Augusto Fernández assuré ?

Il semblerait que l'avenir d'Augusto Fernández soit enfin décidé. Le pilote Tech3 GASGAS va quitter la firme autrichienne pour rejoindre un constructeur japonais.

"Je ne sais pas si je peux le confirmer, mais il nous manque encore la dernière pièce pour l’annoncer. Mais il semble que je piloterai la Yamaha en tant que pilote d’essai", expliquait-il dans le paddock de Sepang.

Pas de consigne chez Ducati

Il semblerait que la lutte pour le titre mondial se fera uniquement entre Jorge Martín et Francesco Bagnaia. Davide Tardozzi est clair sur le sujet : Enea Bastianini n'aidera pas le double Champion du Monde à conserver sa couronne. De son côté, Franco Morbidelli, coéquipier de Jorge Martín et ami de Francesco Bagnaia, n'a pas donné une position claire sur ce qu'il ferait si les deux pilotes étaient à la lutte.

Andrea Iannone est de retour ! 

Absent de la grille MotoGP depuis cinq ans, Andrea Iannone a découvert la Ducati GP23, normalement pilotée par Fabio di Giannantonio. Après ses premiers tours de roues, le pilote italien a affirmé que c'est une "autre moto" et que "le point de freinage, l'entrée et la vitesse en virage" sont les plus grandes différences par rapport à 2019. "Elle est plus agile, plus polyvalente. Elle est plus facile à piloter. Elle est moins nerveuse, plus stable et donc entrer dans les virages est plus facile", ajoute-t-il.

Luca Marini n'est pas satisfait des concessions

Le pilote d'usine Honda estime que la nouvelle structure des concessions offre moins d'avantages que par le passé. Selon le pilote italien, "la liberté de développement des moteurs est la seule bonne chose".