Le week-end de Fabio Quartararo n'a pas été simple puisqu'il a fini à deux reprises à la porte des points sur le circuit de Buriram, en Thaïlande.
10e lors de la première séance des essais libres, le pilote Yamaha échoue non loin de la qualification en Q2 lors de la Practice, avec la 12e place. Fabio Quartararo s'est illustré lors de la Q1 en signant le meilleur temps, lui offrant un accès en Q2. Le pilote français s'est classé en sixième position sur la grille des deux courses du week-end thaïlandais.
Pas de points pour Fabio Quartararo en Thaïlande
La Sprint ne s'est pas déroulé de la meilleure des manières pour le pilote français. Il pointe en 11e position après le premier tour avant de chuter en 15e position le tour suivant après une bagarre face à Brad Binder. Tour après tour, Fabio Quartararo remonte au classement, pour finir en 10e position, à la porte des points.
"Aujourd'hui, c'était plutôt bien, à part le premier tour avec Brad Binder qui nous a dépassés un peu trop agressivement. J'ai perdu beaucoup de places. La Q1 était bonne, la Q2 était bonne et le rythme lors de la Sprint était également bon. C'est juste dommage que je sois parti large, comme je l'ai dit, et que j'aie perdu cinq positions ou plus. Mais nous pouvons être heureux de la paix que nous avons connue ce samedi. Je pense que nous étions un peu plus rapides que les autres pilotes que j'ai dépassés, et j'ai apprécié", expliquait-il après la journée du samedi.
Après un bon départ lors du Grand Prix, il pointe rapidement en deuxième position avant de perdre progressivement des places dans les premiers tours de la course. Mais au quatrième tour, la course de Fabio Quartararo prend un tournant après un accrochage avec Franco Morbidelli. Le pilote Yamaha chute mais parvient à repartir en dernière position. Profitant des aléas de la course, il passe le drapeau à damier en 16e position.
"Le départ a été plutôt bon. Les premiers tours ont été positifs et j'ai pris plaisir à me battre avec les pilotes qui étaient devant. Puis, j'ai eu un contact avec Franco Morbidelli qui m'a fait sortir. J'ai repris la course et, sachant que je roulais sans repose-pieds et sans frein arrière, que le guidon était plié et que je n'avais pas d'ailerons, le rythme était toujours assez bon. Je pense que c'était bien de faire plus de tours sous la pluie. Voyons ce que nous pouvons faire en Malaisie", concluait-il.