La 87e édition des 24 Heures du Mans a été remportée par l’équipage Alonso-Buemi-Nakajima, sur la Toyota TS050 Hybrid #8 du Toyota Gazoo Racing. Vainqueur en 2018, ce trio est sacré Champion du Monde d’Endurance de la FIA.
Pour Toyota, déjà assuré du titre mondial LMP1, c’est un carton plein puisque le constructeur japonais décroche le doublé et place ses deux voitures sur le podium du Mans.
Alonso / Buemi / Nakajima, Champions du Monde
252 500 spectateurs ont assisté ce week-end à une première historique : Super Finale, la 87e édition des 24 Heures du Mans concluait en apothéose la Super Saison 2018-2019, composée de huit courses, dont deux fois les 24 Heures du Mans.
Deux pourrait d’ailleurs être le chiffre de ce dimanche. En effet, Fernando Alonso, Sébastien Buemi, Kazuki Nakajima remportent pour la 2e fois les 24 Heures du Mans. En s’imposant en 2018 et 2019, le trio s’adjuge également le titre de Champion du Monde d’Endurance de la FIA. Pour Fernando Alonso, il s’agit de son deuxième titre mondial FIA, après celui décroché en F1. Sur le podium des 24 Heures du Mans, ces vainqueurs-champions arboraient de magnifiques couronnes d’or.
Deux, c’est aussi le nombre de TS050 Hybrid que Toyota Gazoo Racing place aux deux premières marches du podium de cette 87e édition. Deux c'est aussi le nombre de titres mondiaux que remporte le constructeur japonais : LMP1 et pilotes.
Comme en 2018, c’est Kazuki Nakajima qui a passé la ligne d’arrivée au volant de son prototype. La voiture sœur, la #7, longtemps en tête, a été victime d’une crevaison à une heure de l’arrivée, perdant ainsi tout espoir de succès.
« La course a été cruelle pour la #7 » déclarait Rob Leupen, le Directeur des Opérations de Toyota Gazoo Racing, premier constructeur japonais à compter désormais deux succès au Mans. Sur la 3e marche du podium, la SMP Racing #11 BR Engineering BR1 - AER de Petrov-Aleshin-Vandoorne. Ce dernier, ex-coéquipier de Fernando Alonso en F1 chez McLaren, était un rookie heureux.
Communiqué de presse