Automobili Turismo e Sport est né d'une scission au sein de la division sport de Ferrari. Carlo Chiti , alors directeur technique de la Scuderia Ferrari, Giotto Bizzarrini et Romolo Tavoni en désaccord avec Enzo Ferrari claquent la porte et fondent A-T-S.

La nouvelle marque italienne conçoit deux Formule 1, l'ATS 100 pour la saison 1963 qui se révèle décevante. Puis l'ATS D-F, évolution de la 100, engagée par l'écurie privée Derrington-Francis Racing Team en 1964.

A-T-S sort une GT puis entre en hibernation

En dehors de la Formule 1, Automobili Turismo e Sport conçoit une voiture sportive, l'ATS 2500 GT. Produite à douze unités entre 1963 et 1965. Devant l'échec en Formule 1 et les faibles ventes de leur GT, les « rebelles » de chez Ferrari mettent la marque en sommeil. Chiti part travailler avec Alfa Roméo en fondant le programme sportif Auto Delta de la marque, Bizzarrini trouve refuge lui chez Lamborghini.

Un réveil en douceur, sur des bases sûres

En 2012, la marque sort de son long sommeil et sort un nouveau modèle, une nouvelle version de l'ATS 2500 GT plus moderne l'ATS GT Sport. Ce sont les entrepreneurs Daniele Maritan et Emanuele Bomboi qui reprennent les rênes de l'entreprise. La voiture est présentée en 2017.
La GT Sport reprend les bases technique et le moteur de la Mclaren 650 S. Un moteur essence bi-turbo V8 3,8 L à 90° pour 650 chevaux de puissance pour une vitesse maximal de 331 km/h. La voiture est construite à douze exemplaires comme sa devancière.

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