Avec un ambitieux calendrier de 23 dates en 2021, la F1 a dévoilé une saison record, même si la pandémie du Covid aura le dernier mot. Certains Grands Prix restent encore dans le doute, d'autres se positionnent en solution de repli.
En 2020, nous avons eu droit au retour de la Turquie qui n'avait plus été retenue par la F1 depuis 2006. Le circuit d'Istanbul peut encore être une solution de repli cette année si les déplacements au Canada ou au Brésil posent problème.
La Turquie in ? Canada et Brésil out ?
Pour l'heure, la saison a débuté à Bahreïn, les deux prochaines manches sont les nouveautés de la saison 2020, à savoir Imola dès le 18 avril, puis Portimão le 2 mai. Ces deux dernières courses se dérouleront d'ailleurs à huis clos.
Certains bruits de couloir évoquent déjà le retour de la Turquie pour le mois de juin tandis que Bahreïn pourrait être retenu pour exploiter à nouveau l'autre tracé, "l'Outer Track" ou l'ovale comme certains l'ont appelé pour une date en octobre ou en novembre. Le principal problème de la F1 réside dans ses déplacements à l'international est la mise en place de restriction de quarantaine de 14 jours comme c'est le cas actuellement au Canada.
La F1 pourrait avoir du mal à quitter l'Europe comme en 2020 où elle y a réalisé la plupart de ses courses comme au Moyen-Orient. Rien ne garantie que les Grands Prix du Mexique ou du Japon puissent avoir lieu, les frontières de ce dernier sont d'ailleurs fermées. De son côté Singapour n'autorise pas l'entrée sur le territoire de quiconque s'est récemment rendu au Royaume-Uni, pays d'origine de la plupart des équipes.
D'autres Grand Prix ne sont pas non plus assurés à 100% comme l'Azerbaïdjan qui autorise quand même la course à se dérouler à huis clos. Quant à d'autres alternatives, la F1 est aussi en discussions avec Hockenheim et le Nürburgring, mais le directeur de ce dernier a déjà informé qu'ils étaient complets et qu'aucune date n'était possible pour la F1 en 2021.