Alors que le Grand Prix de Bahreïn disposera de trois zones DRS, Marcus Ericsson n'a pas hésité à donner son avis sur Twitter. 

Parti en IndyCar cette saison, Marcus Ericsson garde un pied en F1 via son rôle chez Alfa Romeo Racing. Alors que le Circus rejoint le circuit de Sakhir, à Bahreïn, ce week-end, une nouvelle zone DRS a été ajoutée. Mais cela ne semble pas convenir au pilote suédois qui s'est expliqué sur Twitter.

Critique envers le DRS

"Je ne suis pas sûr de ça. Une des grandes choses que j'ai vu en IndyCar jusqu'à présent est le fait que nous n'avons pas de DRS et qu'il y a tellement plus de batailles en piste roue contre roue, virage après virage. Vous n'avez pas "attendre" une zone DRS pour dépasser, vous y allez juste quand vous avez la chance d'y aller'', explique-t-il dans un premier tweet.

"Le DRS pourrait produire plus de dépassement, mais peut-il vraiment produire plus de combats en piste que, je crois, nous voulons voir ?''.

"Et je ne dis pas que j'ai la réponse. Je sais juste que du point de vue du pilote, vous devez être plus agressif et y aller quand vous obtenez une opportunité, n'importe où sur la piste. Au lieu d'attendre pour se rendre sur une zone DRS et faire le dépassement là-bas d'une façon « sûre »'', conclut-il.

Selon Marcus Ericsson, la solution Push-to-Pass utilisée en IndyCar lui convient mieux que le DRS. Le système utilisé aux Etats-Unis consiste à avoir une puissance supplémentaire allant entre 150 et 200 secondes en fonction des circuits. Cette aide ne dure, pour chaque utilisation qu'entre 15 et 20 secondes, ce qui offre 10 possibilités par course.