La F1 entame sa tournée au Moyen-Orient pour les dernières courses de la saison 2021 entre le Qatar, l'Arabie Saoudite et Abu Dhabi. Vettel a été discret concernant les sujets qui lui tiennent à cœur, notamment les droits de l'homme en Arabie Saoudite.
Très critique en ce qui concerne les pays hôtes de la F1, Sebastian Vettel ne se prive jamais de petites phrases piquantes, voire d'actions de revendication et de soutien, notamment lorsqu'il porta un t-shirt LGBT en Hongrie pour dénoncer de récentes lois homophobes votées dans le pays.
La réticence de Sebastian Vettel à critiquer les organisateurs des courses du Moyen-Orient pour le respect des droits de l'homme dans ces pays respectifs est devenue étonnante, tant le quadruple Champion du Monde ne perd pas une occasion pour exprimer ses idées.
Bien qu'ils soient très ouverts sur une série de questions sociales, environnementales et politiques du moment, Lewis Hamilton et Sebastian Vettel ont été plus discrets lorsqu'on leur a demandé de critiquer le régime du Qatar récemment.
"C'est plus une question pour l'ensemble de la Formule 1 et pas seulement pour moi en tant qu'individu", avait déclaré le quadruple champion du monde allemand au Qatar.
Aujourd'hui, alors que la Formule 1 se déplace vers l'Arabie Saoudite, un pays sans doute encore plus controversé, le pilote Aston Martin de 34 ans semble vouloir se taire complètement. Lorsqu'on lui a demandé s'il était impatient de se rendre en Arabie Saoudite, il a répondu : "Non."
Lorsqu'on lui demande de développer, interrogé par f1-insider.com, il a esquivé le sujet en reportant ses réponses sur la course à venir : "Je ne sais pas. C'est un nouveau circuit pour nous, donc on verra." Et lorsqu'on le presse encore plus pour un commentaire sur les droits de l'homme en Arabie Saoudite, Vettel insiste : "Question suivante."
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