Le pilote Audi en Formule E Lucas di Grassi ne cache pas son envie de rejoindre la présidence de la FIA une fois sa carrière terminée.
L'actuel PDG de la Roborace envisage de prendre la place de Jean Todt à l'avenir. Rappelons que ce dernier a été réélu jusqu'en 2021. C'est en tout cas ce qu'il révèle à Autosport.
"J'aime mon sport. J'ai parfois un point de vue très différent des autres. Cela s'est produit lorsque nous avons commencé la Formule E, cela s'est vu avec mon opinion sur le WEC quand j'ai dit que LMP1 n'était pas durable comme elle l'était il y a cinq ans quand j'ai rejoint le WEC'', explique-t-il.
Un pilote engagé
En décembre dernier, Lucas di Grassi n'a pas hésité à s'exprimer via son compte Twitter. Le sujet concernait les limites de la piste et le manque d'opportunités de dépassement dans certaines catégories. Il suggérait alors un changement fondamental sur la façon dont les circuits sont conçus.
— Lucas Di Grassi (@LucasdiGrassi) December 5, 2017
For example only, when a corner has defined limits like a typical hairpin (B) the fastest racing line will be very similar for all drivers and cars. Now imagine (A) with infinite width - which of this lines is the fastest? It ll depend on lots of factors and not obvious at all... pic.twitter.com/TQYNS6JzZt
— Lucas Di Grassi (@LucasdiGrassi) December 5, 2017