Johann Zarco est le pilote qui a connu le plus de chutes en MotoGP en 2019, d'après les statistiques publiées par la Dorna.
17 chutes, voilà la statistique de la saison 2019 de Johann Zarco. Le pilote KTM, devenu par la suite pilote LCR Honda, est le pilote de la grille MotoGP à avoir le plus chuté, C'est huit chutes de plus que la saison passée. Jack Miller le suit avec 15 chutes, Francesco Bagnaia est troisième de cette statistique avec 14 chutes, ex-æquo avec Marc Marquez.
Tom Booth-Amos, le champion 2019 des chutes
Mais le pilote français n'est pas le pilote qui a le plus chuté durant la saison 2019, toutes catégories confondues. Tom Booth-Amos, le pilote CIP Green Power en Moto3, remporte ce titre avec 22 chutes durant la saison. Can Oncu le suit avec une chute de moins tandis que Sam Lowes a chuté 20 fois, faisant du pilote britannique le premier des pilotes Moto2. Johann Zarco est sixième du classement, ex-æquo avec Albert Arenas, Darryn Binder, Celestino Vietti et Xavi Vierge.
Il y a eu 971 chutes en 2019, toutes catégories confondues. Il y a en a eu 220 en MotoGP, soit 11,6 de moyenne par évènement. C'est la moyenne la plus basse depuis 2014. Il y a eu 347 chutes en Moto2, soit 18,3 chutes en moyenne par week-end de Grand Prix. Il faut remonter à 2009 pour voir moins de 20 chutes en moyenne par week-end de course. Enfin, la Moto3 a connu 404 chutes durant la saison 2019, soit une moyenne de 21,3 chutes par meeting. C'est en hausse par rapport à 2018, avec 2,6 chutes en moyenne de plus.
La course qui a connu le plus de chutes est le Grand Prix de France, au Mans. 90 chutes sont recensées lors de la manche française, devant la course en Catalogne et en Australie (73 chutes chacune). Le virage le plus dangereux en 2019 a été le virage 3 du Grand Prix de France, avec 32 chutes. Il devance le virage 4 à Phillip Island, en Australie (27 chutes). La course d'Aragón est la plus sûre, avec 15 chutes durant le week-end. C'est la course ayant recensé le moins de chutes depuis le Grand Prix du Qatar 2009 (si on exclut Laguna Seca où seule la MotoGP courrait).
