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Les Horaires du Grand Prix

Jeudi :
Conférence des pilotes :
Valtteri Bottas (Mercedes)
Lance Stroll (Williams)
Stoffel Vandoorne (McLaren)
Max Verstappen (Red Bull)
Vendredi :
Robert Fernley (Force India)
Guenther Steiner (Haas)
Claire Williams (Williams)
Essais Libres 1 : 10h00 / 16h00 heure française
Essais Libres 2 : 14h00 / 20h00 heure française
Samedi :
Essais Libres 3 : 11h00 / 17h00 heure française
Qualifications : 14h00 / 20h00 heure française
Dimanche :
Course : 14h10 / 20h10 heure française[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width="4/6"][vc_single_image image="49354" img_size="full" onclick="link_image"][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Le Grand Prix / Le Circuit

Le continent Nord-Américain nous accueille pour le Grand Prix du Canada à Montréal, pour ce qui sera la septième manche de ce championnat. Nous laissons derrière nous les rails, la piste étriquée de Monaco et les incessants changement de rapports de boite, pour de longues lignes droites, vitesses élevées et freinages sollicitant les étriers et les disques !

Le Circuit Gilles Villeneuve sur l’Île Notre-Dame est un tracé semi-permanent de 4,361 km à parcourir 70 fois pour 305,270km. Rappelons que suite aux événements de l’épique édition de 2011, le règlement limite depuis la durée maximum de la course, interruptions comprises, à 4 heures.

C’est un circuit sans dégagements, la proximité des murs de béton, et les quelques dégagements d’herbe accusant leur carences de sécurité moderne, sont propices aux interventions de la voiture de sécurité ! La voie des stands est l’une des moins pénalisante de la saison. Le profil d’accélération/freinage et la possibilité de doubler permet de prendre le départ et d’opter pour des relais alternatifs peu handicapants.

En effet une écurie du milieu de tableau peut, si les tacticiens s’empreignent de génie, glaner un résultat au-dessus de la valeur de leur hiérarchie. On se souviendra de l’édition 2014 où Force India a tenté, et réussi, le pari d’un seul arrêt avec à la clé une cinquième place finale pour Nico Hülkenberg et une meilleure position possible encore, la quatrième, pour Pérez si celui-ci n’avait pas eu le malheur d’avoir un kamikaze derrière lui, en la personne de Massa…
Ses longues lignes droites font la part belle à la Vitesse Maximale, réduisant l’écart habituel entre les gommes des spécifications différentes apportées par le manufacturier unique, Pirelli.

Ici, la priorité est donnée aux « moteurs », d’où les évolutions apportées par les constructeurs qui tentent de fiabiliser leur éléments mécaniques. Avoir une carence de puissance sur ce tracé est un fardeau imputable aux résultats. La cavalerie est importante pour les vitesses de pointe, mais il faut également une fiabilité sans faille, tant les freins sont sollicités ardemment pour que les monoplaces puissent négocier les chicanes sans devoir frotter les murs ou les rails.

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Les anecdotes du tracé canadien

  • Ce sera la 49ème édition du Grand Prix du Canada, dont 39 à Montréal. Mosport et Mont-Tremblant ont également accueilli les Grands Prix du Canada.
  • Michael Schumacher détient le record du nombre de victoires avec un total de 7 réalisations. La première avec Benetton en 1994, les suivantes avec Ferrari en 1997, 1998, 2000, 2002, 2003 et 2004.
  • Lewis Hamilton est le second lauréat ici, avec 6 victoires. De sa première en carrière avec McLaren en 2007, puis 2010, 2012, 2015, 2016 et 2017. D’autres pilotes ont remporté leur première course ici : Gilles Villeneuve en 1978, Thierry Boutsen en 1989, Jean Alesi en 1995, Robert Kubica en 2009 et récemment Daniel Ricciardo en 2014.
  • D’autres pilotes du plateau ont gagné ici à Montréal, et pour une seule édition, c’est le cas de : Kimi Räikkönen en 2005, Fernando Alonso 2006 et Sebastian Vettel en 2013.
  • C’est Michael Schumacher qui détient le plus grand nombre de pole positions avec 6 réalisations (1994-95, 97, 99, 2000-01). Tout comme Lewis Hamilton qui en comptabilise autant (20007-08, 2010, 2015-16-17).
  • La pole position n’est pas cruciale ici, seulement 50% des poleman se sont imposés. Jacques Laffite est le pilote ayant remporté la course en s’élançant le plus loin sur la grille, en 1981 à bord d’une Ligier. Kimi Räikkönen et Jenson Button en fait tout autant mais en s’élançant depuis la septième position de la grille.
  • A noter que c'est ici en 1974 que la première Safety Car est entré en fonction. Il s'agissait d'une Porsche 914.

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Les Pneus Pirelli

Le fournisseur sino-italien vient au Canada avec une configuration de pneus identique de Monaco. Les SuperSoft (rouge) seront les plus dures de la gamme. Ensuite, les UltraSoft (violet) feront office d'offre intermédiaire, avant de retrouver pour la seconde fois de la saison les HyperSoft (rose). La piste du Canada sera le vrai défi pour les pneus les plus tendres de la gamme de Pirelli. Les premières tendances se dégageront à l'issue des Essais Libres 2.

Les zone DRS

Pour ce Grand Prix du Canada, il a une nouvelle zone de DRS, avec deux points de détection. Le nouveau point de détection sera situé 15m après le virage 5 avec une activation possible 95m après le virage 7. La seconde zone de détection sera située 110m avant le virage 9, la première zone d’activation du DRS sera située dans la ligne droite avant la chicane et le mur des « Champions », soit 55m après le virage 12. La deuxième zone d’activation sera dans la ligne droite des stands, soit 70m après le virage 14.

Le Commissaire-Pilote

Le pilote-commissaire sera Emanuele Pirro, cinq fois vainqueur des 24 Heures du Mans, une couronne aux 24 Heures de Daytona et deux autres aux 12 Heures de Sebring. Emmanuele Pirro aura une carrière F1 de trois saisons de 1989 à 1991, pour le compte de Benetton puis la Scuderia Italia. Il a débuté son rôle de commissaire-pilote au Grand Prix d’Abou Dabi en 2010, et revient régulièrement depuis dans le collège des commissaires de course.

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Il y a 40 ans, la victoire de Gilles Villeneuve sur la Ferrari T3

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