Depuis 1968 et l'apparition de Gold Leaf sur les pontons de la Lotus lors du Grand Prix de Monaco, nombreuses sont les entreprises qui ont apposé leur nom sur les monoplaces. Candy a rejoint la F1 en 1979.

C'est en 1946 que l'Officine Meccaniche Eden Fumagalli, appartenant à Eden Fumagalli et à ses trois fils, Niso, Enzo et Peppino, devient Candy.

L'histoire de Candy avec la F1

Après avoir connu une forte croissance entre les années 50 et les années 70, notamment grâce à son implantation sur le marché américain et de nombreuses acquisitions, la marque italienne décide de se lancer dans le sponsoring. Dès 1979, Candy rejoint la F1, en devenant sponsor de l'équipe Tyrrell dès le Grand Prix de Belgique. Le début de l'association se solde par un podium de Didier Pironi, troisième de la course. L'équipe de Ken Tyrrell finit cinquième du championnat.

L'association continue en 1980. Les résultats ne sont pas au rendez-vous, l'équipe finissant qu'à la sixième place. La marque italienne quitte alors Tyrrell pour rejoindre la jeune équipe Toleman. L'équipe ne se qualifie que deux fois sur la saison. Candy poursuit son soutien la saison suivante, une saison marquée par un nombre incroyable d'abandons. En 1983, l'écurie marque les premiers points de l'association Toleman - Candy  en F1. L'arrivée d'Ayrton Senna en 1984 aide profondément l'équipe britannique, qui finit septième du championnat avec trois podiums du pilote brésilien. Cette saison-là marque la fin de l'association avec Candy.

La marque italienne rejoint les monoplaces de l'équipe Ligier dès la saison 1985. L'association se solde par un double podium à la fin de la saison, sauvant la saison du l'équipe française. Sixième du championnat des constructeurs, Candy se retire de la F1 après cette unique saison avec Ligier, continuant ses nombreuses acquisitions. Aujourd'hui, le groupe Candy a été racheté par l'entreprise chinoise Haier en 2018, pour un montant de 475 millions d'euros.