Douzième meeting de la saison 2023 de FIA F2 pour les quatre pilotes français Théo Pourchaire, Victor Martins, Isack Hadjar et Clément Novalak.

Victor Martins a été l'homme fort des essais libres, en signant le meilleur temps devant le pilote de l'équipe française DAMS Ayumu Iwasa. Théo Pourchaire s'est classé en 4e position, Isack Hadjar à la 9e place et Clément Novalak en 17e position.

En qualifications, c'est un autre pilote ART Grand Prix qui a signé la pole position, à savoir le leader du classement des pilotes Théo Pourchaire. Isack Hadjar a signé le 4e temps, juste devant Victor Martins. Pour le vainqueur de la course principale à Zandvoort, c'est uen 21e place.

ART Grand Prix sur le podium de Monza

Lors de la course sprint, Victor Martins a terminé en 2e position. Le pilote ART Grand Prix a réussi une belle remontée, tout comme son coéquipier Théo Pourchaire, qui termine à la 4e place. En 10e position, on retrouve Clément Novalak, qui finit juste devant Isack Hadjar.

"J'étais en confiance et j'ai souvent plongé au freinage de la chicane pour dépasser. L'auto était très efficace même s'il nous en manquait un peu dans certains virages pour aller chercher Vesti qui s'était échappé en tête", déclare le pilote membre de l'Alpine Academy dans le communiqué de la FFSA.

Le lendemain, c'est au tour de Théo Pourchaire de finir sur la dernière marche du podium d'une course compliquée, hachée par quatre neutralisations sous régime de voiture de sécurité. Isack Hadjar termine aux portes des points, Clément Novalak a été contraint à l'abandon après avoir été poussé en dehors de la piste, tandis que Victor Martins a dû abandonner pour un problème sur son aileron arrière.

"En partant depuis la pole position, j'aurais aimé gagner la course bien sûr, mais mon auto était sous-vireuse et j'avais du mal à attaquer juste après les neutralisations. Malgré tout, ce sont deux bons résultats qui me permettent d'accentuer mon avance au championnat. Rien n'est joué, la finale se disputera dans 3 mois et il faudra bien la préparer car le vent peut vite tourner en FIA F2", déclare Théo Pourchaire.