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Fondée en mars 2016, la société Virtual Speed propose à tous les amateurs de sport automobile de s'essayer en tout sécurité aux joies du pilotage. France Racing s'est glissé à l'intérieur du baquet de la Ferrari F2004 de Michael Schumacher pour quelques tours à haute vitesse du circuit de Monaco.

À peine ai-je pénétré sous l'immense tente du Salon International de l'Automobile de Monaco (SIAM) que le son strident d'un V10 tournant à plein régime m’amène à tourner mon regard vers la droite.

Virtual Speed, vous allez transpirer...

Trônant en pole position, le stand Virtual Speed propose au passionné de course que je suis d’assouvir l'un de mes plus vieux rêves : prendre le volant d'une Formule 1 sur l'impitoyable tracé princier.
Invité à me glisser à bord du siège baquet par l'hôte des lieux Stéphane Wauenzell, je prends tranquillement possession du simulateur tout en écoutant religieusement ce dernier m'en expliquer les grands principes de fonctionnement. « Il s'agit d'un simulateur dynamique avec deux systèmes de vérins permettant de faire bouger le baquet afin de ressentir les effets de l'accélération et du freinage. »

En totale immersion

Une fois le pédalier professionnel et le volant à retour de force ajustés, je m'élance pour une session de huit minutes à bord de la mythique Ferrari F2004 de Michael Schumacher. Si les premiers tours se révèlent logiquement brouillons, je finis par progressivement cerner les subtilités d'un tracé reproduit dans ses moindres détails (cette satané bosse dans la descente de Mirabeau !) et d'une monoplace au comportement fidèlement retranscrit.

« On ressent vraiment les effets de la traction ou d’une perte d'adhérence de la voiture", étaye Stéphane Wauenzell. "On n'est plus dans un manège, là c'est vraiment du pilotage. » Complètement immergé dans la peau d'un pilote de Grand Prix grâce à l'efficacité du système audio et aux trois écrans plats installés devant moi, j'achève ma modeste prestation sur un chrono honorable (1'19"023), mais surtout avec l'envie d'y goûter à nouveau le plus rapidement possible. En face de moi, un pilote professionnel de karting, Tom Turschwel s'amusait avec le chronomètre, son tour à Monaco : 1'14"669.

Expérience en immersion d'Andrea Noviello pour France Racing.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image="41577" img_size="full" onclick="link_image"][/vc_column][/vc_row]