[vc_row][vc_column][vc_column_text]

Le plateau de l'IndyCar Series s'est donné rendez-vous à Indianapolis pour une session de test. Un premier roulage des nouvelles monoplaces avant les sessions officielles pour préparer les 500 Miles d'Indianapolis. Ce fut l'occasion de tester à nouveau le windscreen, cette fois-ci par Josef Newgarden.

C'était le 9 février dernier lors des premiers essais de la saison sur le court ovale de Phoenix, le windscreen fut testé par Scott Dixon. Rapidement, le pilote a trouvé le dispositif au point, le déclarant presque apte au service.

Josef Newgarden teste le windscreen

Le système de protection de la tête des pilotes en IndyCar Series est un pare-brise, bien différent du Halo en Formule 1. L'IndyCar Series y travaille depuis 2 ans à son élaboration, c'est la société PPG qui est chargé de sa production.

Après un essai sur le court ovale de Phoenix, il fallait de nouveaux tests, sur un ovale plus grand, celui d'Indianapolis. Avant une validation définitive, et pourquoi pas une adoption dès 2019, le système sera testé sur un circuit routier, puis un tracé urbain.

C'est donc dans le clan du Team Penske que le système du windscreen fut installé, sur la monoplace du champion en titre, Josef Newgarden. Une modification a été apportée avec l'ajout d'un conduit d'air de type NACA, pour alimenter le cockpit en air frais. Après quelques tours de piste, le pilote américain a fait retirer sa visière teintée, pour une totale transparente.

Le windscreen déjà au point

Les premières impression pour Josef Newgarden sont très positives, même si le pilote a du s'habituer aux nouvelles contraintes. "C'était vraiment intéressant à essayer. Le plus confortable pour moi a été de passer d'une visière entièrement fumée à totalement transparente."
"Je pense que les fabricants de casques seront impliqués dans le processus de mise au point des visières. D'un point de vue de la vision, il n'y a rien à redire, l'IndyCar a fait un très bon travail."

En ce qui concerne l'introduction du conduit d'air pour le cockpit, cela réduit la pression exercée sur le casque qui le pousse vers l'avant. L'autre point d'interrogation pourrait provenir de la visibilité du pare-brise au terme d'un relais. L'accumulation de saletés pourrait gêner la vision, un des points à vérifier selon le pilote du Team Penske.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]