Huit pilotes MotoGP se sont affrontés virtuellement sur le circuit de Silverstone, en Grande-Bretagne. 

Les huit pilotes présents pour le cinquième affrontement virtuel sont :

Monster Energy Yamaha MotoGP : Jorge Lorenzo
Petronas Yamaha SRT : Fabio Quartararo
LCR Honda Idemitsu : Takaaki Nakagami
Ducati Team : Michele Pirro
Pramac Racing : Francesco Bagnaia
Aprilia Racing Team Gresini : Lorenzo Savadori
Reale Avintia Racing : Tito Rabat
Team Suzuki Ecstar : Joan Mir

En qualifications, Jorge Lorenzo a mis tout le monde d'accord en s'adjugeant le meilleur temps, devant Fabio Quartararo et Takaaki Nakagami.

Jorge Lorenzo retrouve la victoire avec Yamaha... virtuellement

Dès le départ, Fabio Quartararo prend la tête de la course alors que Joan Mir chute dès le premier virage et Jorge Lorenzo se fait éjecter dans Becketts. Mais Takaaki Nakagami prend rapidement la tête de la course. Peu avant la ligne de départ/arrivée de la F1, Fabio Quartararo chute et repart à la cinquième place.

Si Takaaki Nakagami mène devant Tito Rabat, Michele Pirro est sous la pression de Fabio Quartararo. Les deux pilotes se livrent une belle bataille, qui tourne à l'avantage du pilote français. Le pilote Ducati se retrouve poursuivi par Jorge Lorenzo dans le troisième tour, tandis que Tito Rabat envoie Fabio Quartararo dans le décor. Jorge Lorenzo parvient à passer Michele Pirro.

A la mi-course, le pilote Petronas Yamaha est dans la roue du pilote Ducati, au moment où le leader de la course chute et laisse la tête de la course à Tito Rabat. Le pilote Avintia voit Jorge Lorenzo revenir sur lui, Fabio Quartararo chute à nouveau. Le pilote français fait une remontée époustouflante en passant Michele Pirro dans le septième tour, au même moment où Jorge Lorenzo prend la première place.

Jorge Lorenzo s'impose pour son retour au guidon d'une Yamaha (même virtuellement) devant Tito Rabat et Fabio Quartararo, qui passe Takaaki Nakagami dans les derniers kilomètres. Michele Pirro termine cinquième, devant Lorenzo Savadori, Francesco Bagnaia et Joan Mir.