La Commission Grand Prix a pris différentes mesures, notamment si un pilote passe la ligne sans sa moto, mais aussi concernant le warm-up et les wildcards. 

La Commission Grand Prix, composée de Carmelo Ezpeleta (Dorna, Président), Jorge Viegas (FIM), Hervé Poncharal (IRTA) et Biense Bierma (MSMA), assistée de Carlos Ezpeleta (Dorna), Mike Trimby (IRTA, Secrétaire de la réunion) et Corrado Cecchinelli (directeur technique), s'est réunie pour prendre différentes décisions.

Les décisions de la Commission Grand Prix

La première concerne le cas où un pilote et sa moto ne passent pas la ligne ensemble. Si le pilote n'est pas en contact avec sa machine, le temps d'arrivée est déterminé par la première partie du coureur ou de la moto à franchir la ligne d'arrivée, selon ce qui arrive en dernier. Toute infraction concernant les limites de la piste et un avantage gagné, sera prise en compte pour déterminer la validité du tour. Ceci inclut les cas où la machine et le pilote sont séparés, auquel cas la moto et le coureur seront pris en compte pour déterminer les infractions.

La deuxième décision concerne l'heure du warm-up. Avec la nouvelle organisation du week-end et l'arrivée de la Sprint, les pilotes entraient en piste à 9h45 pour dix minutes. Cela laissait peu de temps pour le tour de parade. Il a été décidé que le warm-up débuterait cinq minutes plus tôt.

Le dernier point concerne les wildcards. Le nombre limite pour la catégorie MotoGP sur un événement passe de deux à trois en 2024. Actuellement, s'il y a plus de demandes que de places disponibles, la décision sur les inscriptions à accepter est prise par la Commission Grand Prix. À l'avenir, ce choix sera fait conformément à un nouveau protocole qui prend en compte le nombre de wildcards déjà attribuées à une usine pour la saison en cours, mais aussi le classement en cas de même nombre de wildcards.