La F1 cherche de nouveaux horizons pour les prochaines saisons. Ainsi, Hanoi, Miami et Buenos Aires sont en lice pour rejoindre le futur calendrier de la F1.

La F1 devrait visiter de nouvelles contrées en 2019. Ainsi, selon les informations rapportées par Auto Motor und Sport, la F1 devrait aller au Vietnam, à Miami et en Argentine.

Le Vietnam et Miami, prêts pour accueillir la F1

Concernant le Vietnam, le circuit est validé par la FIA. Le Grand Prix se déroulera au cœur de la ville de Hanoi. Le circuit devrait faire plus de cinq kilomètres.

Rappelons que Bernie Ecclestone avait refusé un contrat de 10 ans avec le pays asiatique il y a quelques années. "Le Vietnam n’a aucune histoire en sport automobile'', expliquait-il.

Concernant Miami, l'inspection du circuit urbain aura lieu début mars. Ainsi, il devrait faire 5,2 kilomètres et contenir 17 virages. Le circuit devrait passer devant l'hôtel Four Seasons. L'idée de passer par le tunnel a également été suggéré. Mais, le groupe Better Florida Alliance a lancé une pétition pour que la F1 ne courre pas dans les rues de Miami

Le porte-parole du groupe Better Florida Alliance n’est autre que Brian Burgess. C'est également  le rédacteur en chef du site politique The Capitolist. C’est ce même site qui a révélé que le projet de F1 à Miami a le soutien du milliardaire Stephen Ross, qui détient les Dolphins de Miami. Ce nom n’est pas inconnu puisqu’il a fait parti de la liste des potentiels acheteurs de la F1 avant que Liberty Media n’obtienne l’accord.

Le cas Buenos Aires

L'Argentine dispose déjà d'un circuit. Mais le circuit a besoin de travaux pour remettre aux normes le circuit. En effet, sans le grade 1 de la FIA, impossible pour le circuit d’accueillir le Grand Prix d’Argentine de F1.

"Les travaux de réparation et d’amélioration du circuit commenceront dès que nous aurons signé l’accord pour la course à Buenos Aires pour cinq ans. Le montant estimé est de l’ordre de 30 millions de dollars. De l’avis d’un expert, les travaux peuvent être finalisés six mois après leur début'', déclarait récemment Arturo Bubinstein, président de la société d’investissement Blue Capital.