Le transfert confirmé de Daniel Ricciardo de Red Bull à Renault va débloquer le marché des transferts. A commencer par les premiers concernés, le second baquet chez Red Bull. Max Verstappen sait déjà qui il ne souhaite pas avoir à ses côtés.
Le pilote néerlandais a prolongé l'aventure chez Red Bull Racing jusqu'en 2020 lors du Grand Prix des États-Unis 2017.
Max Verstappen met son veto
C'est à la suite du départ de Daniel Ricciardo de Red Bull Racing que Christian Horner doit identifier son prochain pilote pour 2019. L'empire Red Bull dispose de quelques pilotes, dont Carlos Sainz Jr. qui est la victime du transfert du pilote australien.
Alors, est-ce que le pilote espagnol peut espérer une promotion au sein de l'écurie mère, après ses années chez Toro Rosso ? La logique voudrait que oui, mais cela ne semble pas être l'option privilégiée.
En effet, il est clair que Max Verstappen a obtenu le statut du pilote n°1 chez Red Bull, certainement un des leviers au départ de Ricciardo. Mais il se pourrait que le jeune pilote de 20 ans puisse avoir plus d'influence qu'il n'y parait.
D'après le site espagnol Marca, Max Verstappen met son veto à la venue de Carlos Sainz Jr. chez Red Bull. Il considère que cela pourrait remettre en cause son statut de pilote n°1, il préferait la venue de Pierre Gasly. Rappelons que les deux pilotes ont déjà été associés en 2015 chez Toro Rosso et que le clan Red Bull n'est pas enclin à renouveler l'expérience.
Effets domino
Carlos Sainz Jr. espère pouvoir se retourner chez McLaren, où les rumeurs l'envoient. Il reste encore l'inconnue du futur de Fernando Alonso, ainsi que Stoffel Vandoorne. Quant à Esteban Ocon, le baquet Renault lui semblait promis, c'est raté. Il doit se retourner en urgence dans les négociations auprès de Force India, l'écurie en grandes difficultés financières.
Si le rachat devait être opéré par Lawrence Stroll, le père de Lance Stroll, on imagine que les sponsors de Sergio Pérez ne laisserait aucun baquet au pilote français. Esteban Ocon, toujours sous la protection de Mercedes, comme le jeune George Russell, n'a plus beaucoup d'options viables, peut-être chez Williams ?