La Formule E reprend ses droits ce week-end avec le ePrix de Hong-Kong. En 2018, Mercedes s'est garanti une place pour courir dans le championnat mais la 12e et dernière équipe inscrite devra payer le prix fort.

La Formule E ne finit pas de remplir sa grille avec de nouvelles équipes et de nouveaux constructeurs. Avec l'arrivée de Techeetah et Jaguar cette saison, la grille reste identique en nombre de participants par rapport aux saisons précédentes. Si Mercedes s'est assurée une place pour la saison 2018, une 12e place est en jeu. Seulement, cette place sera au plus offrant, avec un minimum de 25 millions d'euros.

"Je ne sais pas s'il y a des gens qui sont prêts à payer cet argent ou non, mais ce que je veux faire est protéger ceux qui sont déjà ici. Les équipes ont investi beaucoup de moyens, beaucoup de ressources humaines, beaucoup d'argent, pour être dans le championnat. Ils méritent une valeur en retour. Les équipes commencent à entrer dans une bonne position financière. Mais nous avons besoin d'être restrictive dans les entrées que nous donnons », déclare Alejandro Agag à Autosport.

Des discussions avec un constructeur japonais

Alejandro Agag confirme également avoir des discussions avec un constructeur japonais. La rumeur veut que ce soit Nissan, bien que Honda ait montré de l'intérêt pour la série. Ainsi, cela rajouterait un ou deux constructeurs de plus à la série, déjà composée de Renault, Audi, Jaguar et BMW, mais aussi de constructeurs indépendants comme DS, NextEV, Mahindra, Faraday et Venturi.