[vc_row][vc_column][vc_column_text]

Récemment nommée à la Commission des femmes de la FIA, Carmen Jorda a profité de l’E-Prix du Mexique pour faire ses premiers tours de roue. L’ex-pilote de F1 espagnole s’est aussi exprimée à propos de l’avenir de la discipline.

L’E-Prix de Mexico, remporté samedi dernier par Daniel Abt, était le moment choisi par Carmen Jorda pour effectuer un test de monoplace. Son premier en FE, mais pas en sport automobile. Pour rappel, l’espagnole est passée par l’Indy Light, le GP3, et la F1, en tant que pilote de développement chez Lotus F1, puis Renault F1. Expérimentée, Carmen Jorda s’est donc retrouvée derrière le volant d’une des monoplaces du championnat électrique.

Carmen Jorda : véritable symbole ou icône publicitaire ?

Bien que l’idée d’inviter la pilote espagnole part d'une bonne intention (dans un sport où la place des femmes est très négligée, il fait bon de voir des femmes pilotes), elle semble surtout constituer un coup de publicité pour la FE. La vidéo diffusée sur YouTube par la FIA dure moins d’une minute, et les déclarations de Jordá sont courtes. Elle est agrémentée de beaucoup de réactions négatives de la part des internautes.

Rappelons que Carmen Jorda est au coeur de plusieurs contestations de la part du monde du sport automobile. Déjà, lors de son passage en F1, ses anciens rivaux et coéquipiers s’interrogeaient sur la qualité de ses performances. Ils l’accusaient (parfois à tord) d’être en deçà du niveau requis pour piloter. Sans compter les critiques de la plupart de femmes pilotes, à l’annonce de sa nomination à la Commission des femmes. Il est reproché à la FIA de faire de l’espagnole un symbole, et d’utiliser le physique de Jorda pour faire sa publicité. Néanmoins, ces critiques n’ont pas empêché Carmen Jorda de continuer à exercer son rôle au sein de la FIA, et de rouler en Formule électrique. Affaire à suivre.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_video link="https://youtu.be/i3ifs9bLngg"][/vc_column][/vc_row]